2012

Histoires d’arbres, de bois, de lune... Au début, tout a l’air calme.

 Et soudain, les voilà qui débarquent sans crier gare:

 Un pommier qui parle ! Une lune coquette ! Un tournesol dépressif !

 Des milliers de lutins, une sorcière privée de son balai, une étrange bibliothèque, un vieux qui parle aux araignées...

Samuel Allo, conteur voyageur originaire des côtes d'Armor est porteur des histoires entendues lors de ses marches aux quatre coins du monde...Rentré en Bretagne il les offre aux oreilles qu'il croise. Ce soir, Samuel vous amènera à la rencontre de l'imaginaire de Galice, d'Irlande, d'Ecosse et de Bretagne...

Des Korrigans aux Sealkies, entre l'humour, la naïveté et la sagesse, il n'y a parfois qu'un petit bras de mer... Venez vous laisser porter par les mélodies du psaltérion et de la flûte, elles vous entraineront dans des aventures extraordinaires...

Spectacle familial, qui convient aux enfants de cinq à cent douze ans.

Au départ, c’est, d’une part un conte d’Afanassiev, un des rares qui vantent la flemmardise, et d’autre part la participation à la construction d’un poêle de masse.

A l’arrivée, c’est l’histoire actuelle d’une fille qui refuse les règles du jeu qu’on lui impose et finit par se mettre en mouvement et trouver le monde dans lequel elle pourra vivre.

« C’était l’automne. En allant cueillir des mûres, une jeune femme nommée Orsanne s’est perdue dans la forêt. Il faut dire qu’elle avait marché sur l’herbe d’égarement.

Orsanne a alors tout oublié ; qui elle était, où elle se trouvait… Elle a trouvé refuge dans une tanière où vivait un ours. Orsanne est restée prisonnière…

Au printemps elle a mis au monde un petit…Elle l’a appelé Jean. Elle se disait que c’était un beau nom pour un enfant…Plus tard, au village, tout le monde l’appellera JEAN DE L’OURS… ».

 Le tacot, le tortillard, le brûle talus, autant de noms qui ont été donnés aux petits trains qui sillonnaient le pays pendant la première moitié du XXème siècle.

Ferdinand est fasciné par ce train qui passe devant chez lui. Le jour de ses 6 ans il demande à son père de tout lui expliquer sur le train, mais pour toute réponse, celui-ci marmonne qu’il comprendra quand il sera plus grand. Dès lors, Ferdinand cherchera par lui-même (et avec l’aide de quelques amis) les réponses à ses questions.

Il y a aussi le père Mahé, qui est décidément contre le train, Jeanne et son mari, le chef de train, de la fausse monnaie, des escarbilles, des déraillements (mais pas beaucoup), des pommes, des pierres et tout ce qui fait le quotidien des habitants de la Rue de la gare…

Je choisis mes histoires autant qu'elles me choisissent, parfois longtemps muettes elles attendent leur temps, et puis un jour elles sont prêtes. "Perri la poisse" est l'une d'elles. Comment vivre avec un surnom  pareil ?
Une autre histoire,  "la lunette" est adaptée d'un texte de Jeanne  Nabert, une grande dame dont j'ai lu et relu les "contes du bout du monde".
D'autres s'inviteront, ce soir-là, on peut leur faire confiance.
Ça parlera de  mer, bien sûr,  et puis de nous, humains  sages et fous, et d'autres créatures.
Il y aura de l'émotion, du rire, des chansons, des amusettes et  du frisson  pour toutes les oreilles.